Denis SIMON

Premier cri, la voix n’est pas encore en place, mais ses parents s’en souviennent.

Premier concours de chant à 6 ans, premier 1er prix, et naissance d’une vocation.

Rencontre avec Hubert Bannwarth, chef d’orchestre connu jusqu’en Europe de l’Est, qui devient son arrangeur et l’engage dans de multiples tournées.

Débuts au conservatoire national où il étudie la musique sous l’égide de professeurs, grands musiciens de jazz. Multi-instrumentiste, il apprend la batterie, le piano, l’accordéon, la guitare, la guitare basse et la trompette.

Mais très vite, il va se concentrer sur sa voix et sur sa tessiture de 5 octaves, qui lui confèreront ce timbre particulier.

Nombreux galas, bals et tours de chant aux côtés de l’orchestre réputé d’Hubert Bannwarth. Non seulement il côtoie les têtes d’affiche des années 70 : Dalida, Sacha Distel, Line Renaud, Annie Cordy, Les Compagnons de la chanson …, mais apprend également, auprès de ces artistes, son métier.

Porté par le soutien du public, il fonde sa propre formation, qui prendra le nom d’Orchestre Denis Simon où viendra le rejoindre son propre père, musicien également. L’Orchestre est immédiatement plébiscité par le public et les dates s’enchaînent.

Acquisition d’une technique vocale très particulière qui lui permettra d’interpréter de la «Tyrolienne», Son public toujours plus nombreux Outre-Rhin le surnommera «Der Jodelmeister» :littéralement, le maître du Jodel.

Tournée dans ces mêmes pays d’Outre-Rhin où son timbre ne passe pas inaperçu. Il entamera des tournées aux côtés d’artistes prestigieux de langue germanique, comme « Die Flippers » habitués des N°1 des hit parades ou Ricky King, Geschwister Hoffman et bien d’autres encore.

C’est l’entrée à la Sacem en tant qu’auteur-compositeur et interprète de musique, qui va désormais bousculer sa destinée.

Premier 45 tours solo, et premier passage sur l’antenne nationale de FR3, dans une émission de variété de Guy Lux en prime time «Cadence 3» aux côtés d’artistes des années 80 comme Julie Piétri et les Forbans.

Rencontre non professionnelle mais décisive sentimentalement: il croise le doux regard de Carole, une groupie de son orchestre qui deviendra plus tard son épouse.

Série de coups durs et annulation de nombreux galas, suite à une maladie qui le tiendra longtemps éloigné de la scène et de son public.
S’en suit une dépression, et une remise en question, nécessaire à son évolution.

Totalement rétabli, il se consacre désormais à sa carrière solo.
Il s’entoure de gens qui lui sont chers comme Hubert Bannwarth qu’il retrouve en tant qu’arrangeur et Thierry Brenner, auteur de chansons, reconnu dans l’Est de la France. Celui-ci lui écrit les textes sous le pseudo d’Etienne Fory, de l’album qui sera à ce jour, à la fois son album préféré et celui de son public : «Les Mots du Cœur».

Plus de 200 radios diffuseront cet album. Il sera alors submergé par de nombreux témoignages de sympathie du public qui se reconnaît à travers les chansons. L’une d’elles «Elle priait» suscite un engouement encore plus grand, qui dépasse toutes ses espérances.

Suite au succès des «Les Mots du Cœur», il promène son album de scènes en galas à travers tout le pays.

Sortie en édition limitée d’un nouveau CD «Tendres secrets» qui fera suite au précédent et qui rencontrera à nouveau l’adhésion du public.

Naissance de sa fille Lou-Ann («le plus beau jour de sa vie», confiera l’artiste plus tard).

Signature avec un label «Titre A», de son troisième album solo «L’amour plus fort que l’amour».
Nouveau son, nouveaux arrangements confiés à Paul Glaeser qui désormais cosignera également les compositions de ce nouvel opus.
C’est aussi l’album pour les trois femmes de sa vie (sa maman, son épouse, et sa fille) auxquelles il dédie à chacune, une chanson sur ce disque.

A la demande sans cesse croissante de son public, il prépare actuellement les chansons de son futur album dans le plus grand secret, auprès de l'équipe des «Les Mots du Cœur», qu’il tient à reformer pour le plus grand bonheur de tous.